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Psaumes 80:6
Tu les nourris d’un pain de larmes. Tu les abreuves de larmes à pleine mesure.

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Psaumes 80:6
Tu les nourris d’un pain de larmes. Tu les abreuves de larmes à pleine mesure.

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Psaumes 79:4
Nous sommes devenus un objet d’opprobre pour nos voisins, De moquerie et de risée pour ceux qui nous entourent.

Psaumes 44:13
Tu vends ton peuple pour rien, Tu ne l’estimes pas à une grande valeur.

Psaumes 44:14
Tu fais de nous un objet d’opprobre pour nos voisins, De moquerie et de risée pour ceux qui nous entourent;

Néhémie 2:19
Sanballat, le Horonite, Tobija, le serviteur ammonite, et Guéschem, l’Arabe, en ayant été informés, se moquèrent de nous et nous méprisèrent. Ils dirent: Que faites-vous là? Vous révoltez-vous contre le roi?

Psaumes 42:10
Je dis à Dieu, mon rocher: Pourquoi m’oublies-tu? Pourquoi dois-je marcher dans la tristesse, Sous l’oppression de l’ennemi?

Psaumes 89:41
Tu as détruit toutes ses murailles, Tu as mis en ruines ses forteresses.

Jérémie 24:9
Je les rendrai un objet d’effroi, de malheur, pour tous les royaumes de la terre, un sujet d’opprobre, de sarcasme, de raillerie, et de malédiction, dans tous les lieux où je les chasserai.

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Psaumes 80:1
Au chef des chantres. Sur les lis lyriques. D’Asaph. Psaume.

Psaumes 80:3
Devant Éphraïm, Benjamin et Manassé, réveille ta force, Et viens à notre secours!

Psaumes 80:4
O Dieu, relève-nous! Fais briller ta face, et nous serons sauvés!

Psaumes 80:5
Éternel, Dieu des armées! Jusques à quand t’irriteras-tu contre la prière de ton peuple?

Psaumes 80:6
Tu les nourris d’un pain de larmes. Tu les abreuves de larmes à pleine mesure.

Psaumes 80:7
Tu fais de nous un objet de discorde pour nos voisins, Et nos ennemis se raillent de nous.

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Proverbes 1:30
Parce qu’ils n’ont point aimé mes conseils, Et qu’ils ont dédaigné toutes mes réprimandes,

Proverbes 15:20
Un fils sage fait la joie de son père, Et un homme insensé méprise sa mère.

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Jérémie 15:10
Malheur à moi, ma mère, de ce que tu m’as fait naître Homme de dispute et de querelle pour tout le pays! Je n’emprunte ni ne prête, Et cependant tous me maudissent.


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