Job 17:1
Je suis environné de moqueurs, Et mon œil doit contempler leurs insultes.
--------------------
Job 17:1
Je suis environné de moqueurs, Et mon œil doit contempler leurs insultes.
--------------------
-----
Job 19:17
Mon humeur est à charge à ma femme, Et ma plainte aux fils de mes entrailles.
-----
Job 17:13
C’est le séjour des morts que j’attends pour demeure, C’est dans les ténèbres que je dresserai ma couche;
Job 17:14
Je crie à la fosse: Tu es mon père! Et aux vers: Vous êtes ma mère et ma sœur!
Job 17:15
Mon espérance, où donc est-elle? Mon espérance, qui peut la voir?
Job 17:16
Elle descendra vers les portes du séjour des morts, Quand nous irons ensemble reposer dans la poussière.
Job 6:11
Pourquoi espérer quand je n’ai plus de force? Pourquoi attendre quand ma fin est certaine?
Job 7:7
Souviens-toi que ma vie est un souffle! Mes yeux ne reverront pas le bonheur.
-----
Job 17:3
Sois auprès de toi-même ma caution; Autrement, qui répondrait pour moi?
-----
Psaumes 88:3
Que ma prière parvienne en ta présence! Prête l’oreille à mes supplications!
Psaumes 88:4
Car mon âme est rassasiée de maux, Et ma vie s’approche du séjour des morts.
Psaumes 88:5
Je suis mis au rang de ceux qui descendent dans la fosse, Je suis comme un homme qui n’a plus de force.
Job 33:22
Son âme s’approche de la fosse, Et sa vie des messagers de la mort.
-----
Job 7:5
Mon corps se couvre de vers et d’une croûte terreuse, Ma peau se crevasse et se dissout.
-----
Genèse 2:7
L’Éternel Dieu forma l’homme de la poussière de la terre, il souffla dans ses narines un souffle de vie et l’homme devint un être vivant.
-----
Ecclésiaste 3:19
Car le sort des fils de l’homme et celui de la bête sont pour eux un même sort; comme meurt l’un, ainsi meurt l’autre, ils ont tous un même souffle, et la supériorité de l’homme sur la bête est nulle; car tout est vanité.
-----
Ésaïe 38:10
Je disais: Quand mes jours sont en repos, je dois m’en aller Aux portes du séjour des morts. Je suis privé du reste de mes années!
Ésaïe 38:12
Ma demeure est enlevée et transportée loin de moi, Comme une tente de berger; Je sens le fil de ma vie coupé comme par un tisserand Qui me retrancherait de sa trame. Du jour à la nuit tu m’auras achevé!
Domaine public