Job 3:9
Que les étoiles de son crépuscule s’obscurcissent, Qu’elle attende en vain la lumière, Et qu’elle ne voie point les paupières de l’aurore!
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Job 3:9
Que les étoiles de son crépuscule s’obscurcissent, Qu’elle attende en vain la lumière, Et qu’elle ne voie point les paupières de l’aurore!
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Job 3:3
Périsse le jour où je suis né, Et la nuit qui dit: Un enfant mâle est conçu!
Job 3:4
Ce jour! Qu’il se change en ténèbres, Que Dieu n’en ait point souci dans le ciel, Et que la lumière ne rayonne plus sur lui!
Job 3:5
Que l’obscurité et l’ombre de la mort s’en emparent, Que des nuées établissent leur demeure au-dessus de lui, Et que de noirs phénomènes l’épouvantent!
Job 3:6
Cette nuit! Que les ténèbres en fassent leur proie, Qu’elle disparaisse de l’année, Qu’elle ne soit plus comptée parmi les mois!
Job 3:7
Que cette nuit devienne stérile, Que l’allégresse en soit bannie!
Job 3:8
Qu’elle soit maudite par ceux qui maudissent les jours, Par ceux qui savent exciter le léviathan!
Job 19:18
Je suis méprisé même par des enfants; Si je me lève, je reçois leurs insultes.
Job 41:10
Des flammes jaillissent de sa bouche, Des étincelles de feu s’en échappent.
Jérémie 13:16
Rendez gloire à l’Éternel, votre Dieu, Avant qu’il fasse venir les ténèbres, Avant que vos pieds heurtent contre les montagnes de la nuit; Vous attendrez la lumière, Et il la changera en ombre de la mort, Il la réduira en obscurité profonde.
Jérémie 20:14
Maudit soit le jour où je suis né! Que le jour où ma mère m’a enfanté Ne soit pas béni!
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Job 3:10
Car elle n’a pas fermé le sein qui me conçut, Ni dérobé la souffrance à mes regards.
Job 3:11
Pourquoi ne suis-je pas mort dans le ventre de ma mère? Pourquoi n’ai-je pas expiré au sortir de ses entrailles?
Job 3:12
Pourquoi ai-je trouvé des genoux pour me recevoir, Et des mamelles pour m’allaiter?
Job 3:13
Je serais couché maintenant, je serais tranquille, Je dormirais, je reposerais,
Job 3:16
Ou je n’existerais pas, je serais comme un avorton caché, Comme des enfants qui n’ont pas vu la lumière.
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Job 41:18
Il regarde le fer comme de la paille, L’airain comme du bois pourri.
Domaine public